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Les îles Cook sont nées il y a des millions d’années lorsque la plaque du Pacifique s’est déplacée sur un point chaud du manteau terrestre.

Les points chauds déclenchent une activité volcanique à l’intérieur des plaques, ce qui favorise la formation de volcans sous-marins. La plupart des volcans de cette région sont très anciens, mais Rarotonga et Aitutaki contiennent des roches plus jeunes.

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Les Néandertaliens avaient des mâchoires puissantes et un nez large, et leurs traits faciaux étaient proéminents. En revanche, les humains modernes ont des traits plus plats et plus doux. L’étude, menée par des scientifiques de l’Institut Max Planck d’anthropologie évolutive, s’est concentrée sur les principales différences dans le processus de croissance des visages humains par rapport à ceux des Néandertaliens et des chimpanzés. Grâce à la numérisation et à l’analyse en 3D, les experts ont étudié le développement de la partie médiane du visage, de l’enfance à l’âge adulte.

Il s’est avéré que le visage de l’homme moderne cesse de croître à l’adolescence, contrairement à celui des Néandertaliens et des chimpanzés, chez qui le processus dure plus longtemps. L’étude a porté sur 128 crânes d’hommes modernes, 33 de chimpanzés et 13 de Néandertaliens. L’équipe a suivi l’évolution des visages au fil du temps en mesurant la forme et la taille des os, ainsi que l’activité cellulaire à leur surface.

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Fin mars, les premières fleurs de cerisier ont fleuri à Tokyo, permettant aux représentants de l’Agence météorologique japonaise d’annoncer officiellement le début de la saison. Toutefois, le calendrier des floraisons est en train de changer : ces dernières années, elles ont commencé de plus en plus tôt, ce qui témoigne de l’impact du changement climatique.

Le Japon fournit des données uniques pour l’étude de la phénologie, la science de la chronologie des événements biologiques. Les données relatives à la floraison des cerisiers à Kyoto sont enregistrées depuis plus de 1 200 ans et constituent un outil important pour le suivi du changement climatique.

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Marcher sur une plage de sable peut être agréable, mais il est plus difficile de se déplacer sur le sable que sur une surface dure. Des études montrent que vous dépensez de 2,1 à 2,7 fois plus d’énergie à chaque pas en raison de la mollesse du sable, qui « flotte » sous vos pieds. Les irrégularités de la plage rendent également les mouvements plus difficiles, ce qui oblige les muscles, en particulier ceux des chevilles et des pieds, à travailler dur.

Il est intéressant de noter que les gens modifient leur démarche sur le sable : ils font des pas plus longs et bougent leurs hanches et leurs genoux plus vigoureusement, ce qui augmente également la dépense énergétique. Lorsque l’on court sur le sable, la différence de dépense énergétique est moindre, mais l’effort à fournir reste considérable.

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Une étude réalisée par des scientifiques de l’université de l’Indiana et de l’université du Massachusetts montre un lien entre l’élévation des montagnes et le niveau de diversité des espèces parmi les petits animaux tels que les rongeurs. Les experts ont utilisé des modèles informatiques pour simuler l’évolution des espèces en réponse aux changements géologiques.

Les résultats montrent que le soulèvement des montagnes crée de nouveaux habitats et isole les populations, ce qui entraîne la formation de nouvelles espèces. Les chercheurs ont utilisé le modèle Adascape pour représenter virtuellement les changements à la surface de la Terre et suivre l’adaptation des espèces.

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