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À l’approche des missions habitées vers Mars, les risques posés par la poussière martienne font l’objet d’une attention croissante. De nouvelles recherches montrent que ces microparticules sont aussi dangereuses que les radiations ou les défaillances techniques.

La poussière de Mars est constituée de minuscules particules contenant du silicium et des perchlorates, des substances qui peuvent pénétrer dans les poumons et dans la circulation sanguine. Leur effet sur l’organisme est comparable à celui de l’amiante, ce qui menace les astronautes de graves maladies respiratoires s’ils restent longtemps à la surface de la planète.

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Une équipe internationale d’astronomes a eu le temps de travailler avec le télescope en février, et la première observation a montré que l’astéroïde pourrait être un peu plus grand et plus rocheux que prévu sur la base des données des télescopes terrestres.

Heureusement, les observations ont confirmé ce que la NASA avait déjà déclaré : l’objet ne constitue pas une menace pour la Terre. La probabilité d’une collision avec notre planète en 2032 est de 0 %.

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Ces molécules, identifiées dans un échantillon de roche foré en 2013, ouvrent de nouveaux horizons pour comprendre le potentiel de Mars en tant que lieu propice à la vie. Les scientifiques ont identifié trois molécules organiques : le décane, l’undécane et le dodécane, contenant respectivement 10, 11 et 12 atomes de carbone. Ces composés sont des résidus d’acides gras qui jouent un rôle important dans la vie sur Terre.

Les acides gras contribuent à la construction des membranes cellulaires et interviennent dans le métabolisme, fournissant aux organismes une source d’énergie à long terme.

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Les géologues qui étudient les données relatives aux tremblements de terre ont fait une découverte inattendue dans le manteau inférieur de la Terre, sous l’océan Pacifique. Les analyses ont montré que dans certaines zones, les ondes sismiques se propagent à des vitesses différentes, ce qui pourrait indiquer la présence de structures dont la température ou la composition diffère de celle de la matière fondue environnante.

Ces formations sont particulièrement intéressantes car elles ne sont pas associées à des zones de subduction connues de la plaque lithosphérique. Jusqu’à présent, les scientifiques ne sont pas sûrs de la nature de ces anomalies et de leur importance pour la compréhension de la structure interne de la planète.

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Le phénomène par lequel l’eau chaude gèle plus vite que l’eau froide dans certaines conditions est appelé « effet Mpemba », en l’honneur d’un écolier tanzanien, Erasto Mpemba, qui l’a remarqué pour la première fois en 1963. Il a découvert que le mélange chaud de crème glacée gèle plus vite que le mélange froid.

Son professeur n’y a d’abord pas cru, mais Mpemba a ensuite partagé son observation avec le professeur Denis Osborne de l’université de Dar es Salaam et ils ont publié un article scientifique commun en 1969

Les expériences ont montré que lorsque l’eau est chauffée – par exemple à environ 100 °C – elle peut geler plus rapidement que l’eau froide (environ 35 °C). Toutefois, l’effet lui-même n’est pas toujours apparent et dépend de nombreux facteurs.

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